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24 rue Clémentine
38200 Vienne
09 51 19 33 09
raphael.delin@grainedelin.fr
Le Cercle d'escrime de Vienne vous conseille si vous cherchez des produits en vrac comme céréales, farine, du riz, des pâtes mais aussi des lessives et des bières avec bouteilles consignées : une vraie caverne d'alibaba en produits sains, vous serez accueilli par Raphaël qui vous conseillera avec le sourire dans sa nouvelle boutique rue Clémentine
À l'époque Il n’existait que 160 magasins de ce type en France, ce qui est encore très peu ; mais Vienne en fait désormais partie.
Une enseigne qui est aussi un jeu de mots car son créateur, âgé de 48 ans, répond au nom de Raphaël Delin…
Technico-commercial dans l’informatique à Paris pendant vingt ans, chez Oracle, ce nouveau commerçant viennoise illustre une reconversion à 160 %, même si l’ADN de sa nouvelle activité reste celle du commerce.
Raphaël Delin a choisi de s’implanter à Vienne, d’une part parce que ce type de magasin n’y existait pas encore, mais aussi parce qu’il y a vécu et qu’il y a de la famille.
« Graine de lin » est une épicerie un peu particulière ; et ce, à deux titres. « Tous les produits, soit 300 références actuellement et près de 500 bientôt, sont bio, sauf trois », explique Raphaël Delin. Il ne s’agit pas non plus d’une franchise, mais d’un commerce indépendant, créé et aménagé ex-nihilo par Raphaël Delin qui a effectué lui-même une grande partie des travaux. Un investissement de 25 000 euros.
Mais de plus, à l’instar des magasins bio qui proposent une partie de leur produits en vrac, ici, c’est la totalité des rayons qui proposent du vrac.
Et plus inhabituel, en l’occurrence, cela va très loin. Il propose comme ailleurs du riz, des pâtes, du café, du thé, voire encore des bonbons, des biscuits ou des légumes et fruits secs en vrac ; mais pas que.
On y trouve aussi, ce qui est plus rare, des produits d’entretien de la maison en vrac provenant de l’entreprise drômoise « Bulle Verte », mais encore de l’huile, du vinaigre ; voire même bientôt, du vin, du whisky, de la vodka, mais aussi de l’épicerie fraîche, etc.
A l’heure où l’on se plaint des emballages envahissant qui souillent la terre et la mer, cette façon de consommer avec des sacs en papier ou des récipients réutilisables presque à l’infini, apparaît bien dans l’air du temps.
Et comme il ne s’agit pas de produits de marques-pas de frais marketing-, cette absence d’emballage diminue de facto les prix de produits, rendant le bio plus abordable.
En bon commercial, il semble que Raphaël Delin ait bien compris l’air du temps et la nouvelle façon de consommer. Pour preuve, dès la matinée de ce premier lever de rideau, les premiers clients, en l’occurrence plutôt des clientes, se pressaient en nombre dans la nouvelle épicerie vrac.